une video est apparue sur le net il y a peu de temps dans celle ci on peu y voir Stefano Casillo y faire un speech dans une université de Rome ou il parle de Kunos de Assetto Corsa et aussi du SimRacing , la video est en italien mais heureusement pour nous seb ferrara (ESRA-Team) nous a pondu une traduc' , voici la premiere partie (les 14 premieres minutes) la suite arrivera plus tard si tout vas bien.
*applaudissement
Ceci est une vidéo importante pour nous, pourquoi ? Parce que le fait qu'une marque comme Ferrari est déjà présente à l'intérieur de notre produit indépendant est un signale qui montre que nous somme entrain de faire quelque chose qui va au delà des canaux de production indépendant
Évidement, nous ne pouvons y arriver ans le force de l'argent (traduction pas terrible désolé). et donc, nous nous devons de trouver quelque chose de nouveau. Se faire un nom a l'intérieur de la communauté italienne qui s'occupe de la simulation.
Et petit à petit, nous sommes arrivé à le faire comprendre à Ferrari l'importance de notre projet.
Voilà, aujourd'hui cette présentation va essayer d'analyser les points qui peuvent être intéressant pour tout le monde.
Nous jetteront un regard rapide sur le marché des jeux de pilotage, comment se place AC et ou doit-il se placer.
Nous jetterons un regard sur la technologie du Laser Scan, qui est une technologie que nous utilisons pour réaliser les circuits.
Un petit regard sur l'équipe, comment est-elle composé. Puis, nous regarderons l'évolution de la technologie qui à derrière notre produit.
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Le marché des jeux de conduites peut se diviser en ses cinq catégories.
(ils montrent le tableau de 3:09)
Arcade : Project Gotham, Burnout
Driving games : Test drive
Simcade : Gran turismo et Forza
Simracing : NetKar PRO, iRacing, rFactor
Profesionnel : netKar PRO, rFactor Pro, logiciel "custom"
Il décrit un peu ce qui fait les catégories, il explique que les simcade joue sur le marketing du mot simulation, mais que s'en est pas à 100%
Ensuite sur les simracing, il fait remarquer que ce sont tous des indépendants. C'est une niche d'environ 50'000 unité. Il explique que les gens qui s'y intéresse dont des pilotes, ou des gens qui vont le samedi sur le circuit de Vallelunga, et qu'il savent comment est vraiment la piste, ils savent de quoi ils parlent.
Puis le marché pro, fait d'équipe de course, qui servent à former les pilotes sur les nouveau circuit (il parle de portimao). Il expliquent qu'ils font parti de ce marché, il y'a aussi les gens de rFactor Pro qui sont leur principaux concurrent sur ce domaine là. Il dit aussi qu'il y'a les Custom software. Les trucs de Ferrari ou Dallara qui font leur truc maison.
Alors, qu'elle est l'idée de AC, l'idée est de toucher du Simcade au Pro. En profitant de ce que Granturismo à ouvert comme marché.
Comment allons nous faire ça ? nous allons le faire en cherchant d'offrir un jeux qui sans compromis est une simulation. Car c'est notre point fort. Mais qui proposera au joueur les plus occasionnel, un mode plus abordable. Au travers aussi, de "modalité" plus divertissante, comme le Drift que nous verrons en premier avec la M3 (je garanti pas l'exactitude de ce que j'écris là).
ça, c'est le plan (il parle donc du slide avec la pub de bouffe pour chat). Et quelqu'un qui veux m'inviter au Global game Jam de 2014, pourrais avoir un problème de parking, car nous arriverons avec ça (il montre l'image de l'avion) (tentative d'humour qui ne semble pas prendre dans le public, il passe a la suite).
Plus réalistiquement, (et il reviens sur le slide avec le chat qui dis "je vous aime pas, sérieusement" (qui couvre, arcade et Driving game donc).
Ce qui arrivera probablement au final, c'est que nous prendrons une part de marché pas très importante sur les simcade. Nous n'arriverons pas à prendre une grande place sur ce marché là.
Mais puisqu'ici nous parlons de 5 à 6 millions de personnes, ça nous va très bien de prendre qu'une toute petite partie de cette part de marché. ça va très bien comme ça. (il rit un peu).
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Alors, le Laser scan, il y'a eu une grande étude pour améliorer le modèle mathématique qui simule la voiture.
Cependant, il y'a un gros problème : Si j'ai ce modèle mathématique parfait, et que je vais faire un tour sur la piste qui ne correspond pas à la piste réel. En réalité, j'ai fait quelque chose de complètement inutile (j'en connais qui vont aimer cette phrase ).
Le Laser Scan répond à cette problématique. Qu'est ce que le Laser Scan ? En faite, le Laser Scan est un machin (c'est lui qui le dis pas moi) qui peu être mis sur un trépied ou bien , dans notre cas, sur un Van qui est localisé avec un GPS et qui tire une série de rayon avec le laser et mesure la distance entre les points entre lequel le laser est tiré et le premier objet qu'il vient rencontré (désolé pas envie de me relire, vous savez comment ça marche...).
Et cela va générer un nuage de point, avec ce nuage de point nous pouvons recréer le circuit.
(petit joke avec le chat qui dis, plus lentement, tu va nous tuer tout les 2)
C'est une explication peu rapide cherchons à ralentir un peu. (il montre l'image de Imola ou s'est écrit "We want this".)
Nous volons faire ceci, là il s'agit d'une photo d'Imola, à l'entrée du virage qui s'appel Tosa. Avec le laser scan on obtient ceci. (image suivante qui dis "so we scan the thing" puis l'image intitulé "model the thing from LS, enfaîte il s'est emmêler les pinceau, il reviens en arrière (super pratique pour moi merci...)...
Donc voilà notre nuage de point, le "graphique" (ou graphisme je sais pas) utilise ce nuage pour réaliser un wireframe . En pratique de quoi il s'agit (il montre l'image Model the thing from LS).
le graphique (encore une fois, traduisez peut-être par "image"), est un nuage de point de couleur, c'est intéressant, parce que le LaserScan, pendant qu'il scan la piste, prend aussi des photos en temps réel. Puis il y'a des logiciels qui réunissent les photos, le scan, et les infos GPS afin de d'avoir pour chaque point du "nuage" la couleur exact. Et quand le "graphique" réussit à voir, "ah c'est un un "vibreur (ou trottoir comme certain disent)", "ça c'est de l'herbe", ça c'est de l'asphalte"
Et donc il crée une chose du genre (la fameuse images donc (toute blanche et grise) Cette chose viens se mettre sur le Laser Scan. Et donc, ce que nous obtenons est une piste qui a exactement les caractéristique de la piste réel.
Reproduisant change "bump", chaque vallonement de la piste, qui pour le pilote et pour l'ingénieur sont indispensable.
De là, nous rajoutons une texture, et nous somme "in-game" (il montre l'image in-game)
Donc, respectivement à la photo que nous avons vu en premier, nous voyons que c'est absolument identique. (et franchement là comme ça, ça l'est).
Donc... (image du chat qui dit " I see what you did there, Do it again" ) si ça vous plait, nous allons le refaire encore une fois
Ceci est la tour de Imola, en photo. ceci est le laser scan, la chose intéressante c'est que plus le point est eloigné d'ou part le rayon, plus le point commence à devenir (hum.. je comprend pas, j'imagine "faible").
Parce que, clairement, le Laser scan à une portée maximal de mesure... Donc, d'ici le wireframe (image toutes grise foncé en fil de fer) et, le résultat final (image du jeux).
Nous réussissons pratiquement à obtenir exactement, pas seulement la piste, mais également les points de références. Ce sont tout une série d'information qui pour le pilote réel sont essentiel, parce que quand le pilote doit comprend ou il doit freiner, dans la vie réel, il commence à prendre une série de point de référence.
si ces points de référence dans la simulation sont à d'autres endroits, la simulation deviens absolument inutile pour le pilote car en piste il devrait trouver de nouveau point de référence (on sent bien là qu'il visent donc clairement une clientèle pro).
Avoir ce Laser Scan, signifie pouvoir donner le plus de point de référence possible qui se retrouverons une fois sur la piste réel.
Alors... Pour récapituler, le Laser Scan, évidement coute. Il coute parce qu'il signifie qu'il faut loué la piste et mandater une entreprise pour le scan, faire le nettoyage des images etc...
et donc, évidemment celà à un cout, mais amène aussi un gain de temps. Pourquoi ? (là je le supplie d'arrêter d'expliquer des évidences ). Parce que ça mets tout de suite un termes à toutes discussion sur "comment est vraiment la piste" ou "le virage me semblait être plus en montée" (Et bla bla bla). Avec le Laser scan, c'est fini. Nous avons la certitude absolue d'un résultat, presque toujours..
(il montre la fameuse image du banking de monza ou y'a le boss qui a été "scanné" par le laser).
Parce qu'une fois.... dans l'image du laser scan apparait mon chef, Marco Massarutto. Il dit qu'il était au téléphone, mais ilm e semble qu'il mange un sandwich.
Bref, il est passé devant le van "laser scan" et il a été immortalisé ici. Et quand nous nous sommes occupé du graphique du circuit, nous sommes tombé sur une surprise.
Celà signifie que du Laser Scan au produit fini, il n'y a pas d'opération automatique. Il n'existe pas un test "ok maintenant donne moi la piste". Parce que le graphique doit être contrôler. Et seul un humain peut savoir ce qui dois se trouver là ou non.
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14:36
L'équipe, nous sommes une très petite équipe, vous ne pouvez pas en voir le nombre.... (fin de la trad actuel)